CAMBRIA-1

Nous voulons voir si un traitement prolongé avec Camizestrant est plus efficace pour prévenir la récidive de la maladie que la poursuite de l’hormonothérapie standard (létrozole, anastrozole, exémestane ou tamoxifène, les médicaments que vous et d’autres patientes atteintes d’un cancer du sein précoce ER+/HER2- recevez actuellement). Nous souhaitons également mieux comprendre la maladie étudiée et les problèmes de santé associés. Bien que de nombreuses patientes atteintes d’un cancer du sein au stade précoce positif aux récepteurs des œstrogènes (ER+)/récepteur du facteur de croissance épidermique humain 2 négatif (HER2-) puissent être guéries de leur maladie grâce à une thérapie locorégionale (chirurgie avec ou sans radiothérapie) et systémique (endocrinienne) avec ou sans chimiothérapie), un nombre important de patients atteints d’une maladie de stade I à III connaîtront une récidive de la maladie (maladie qui réapparaît). En outre, les données probantes montrent que les patients peuvent bénéficier d’un passage à des thérapies plus efficaces après 2 ans d’hormonothérapie adjuvante standard (lénotrozole, anastrozole, exémestane ou tamoxifène). Par conséquent, il est clairement nécessaire de développer de meilleures thérapies pour cette population de patients sous traitement prolongé, en particulier pour les patients présentant un risque de récidive intermédiaire à élevé. Identification des candidats par les oncologues traitants (Voir Plan de recrutement), et suivi aux locaux de l’URC et au centre ambulatoire d’oncologie

Équipe

Mathieu Lebeau, DESS Coordonnateur de recherche clinique en oncologie

Téléphone

(450) 466-5000, p. 3226

Dr